Quand l’artiste Nicolas de Palmaert, créateur des couvertures de Mission, nous ouvre les portes de son atelier, c’est pour nous livrer ses secrets de fabrication… Ce que j’ai voulu représenter s’apparente à une vision de saint Jean. Mais la scène se situe après le Livre de l’Apocalypse. L’idée est de montrer le but : la Jérusalem céleste. Là où nous vivrons avec les anges et où nous pourrons tutoyer tous les animaux de la création. Ce visuel a un air de famille avec celui du Congrès Mission 2022. Cependant, j’ai décalé le visuel vers le haut. Il s’agit de montrer la promesse de Dieu ! Ce mystère, nous le connaissons sans pouvoir l’imaginer. Est-ce une ville ?Un château ? On ne se hisse pas si haut, c’est Dieu qui nous tire jusqu’à lui. Nous devenons les hôtes d’un Royaume extraordinaire, nous sommes des rois. La Jérusalem céleste nous emporte donc à des hauteurs sublimes. Cela devient forcément difficile de montrer cette clarté divine. Le regard doit s’habituer à cette lumière qui rend à toutes choses leur netteté. En haut, on discerne encore les structures de l’église mais c’est la lumière qui domine. Léonard de Vinci appelle ça la« perspective atmosphérique ». Quand nos yeux fixent l’horizon, les couleurs ont tendance à s’estomper et elles sont remplacées par un bleu unique et indicible. C’est ce bleu que j’ai voulu approcher.
Mission est aussi une promesse, celle de tisser un grand réseau missionnaire en France et d’installer l’évangélisation dans le quotidien des communautés chrétiennes. La promesse de montrer la beauté de la mission et sa diversité créative.
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